Il vous faudra des restes de fil à tricoter (moins de vingt grammes pour le noir par exemple), des aiguilles 3 mm et des marqueurs de tricot. Le cordon du porte-gobelet a été fait au tricotin mécanique parce que j’en ai un et en orange parce que j’avais aussi ça sous la main (les perles blanches aussi, elles sont facultatives). Et il est réglable !
On commence par les pattes, le bec, ici en orange, puis la « face », en crème. Les pattes et le bec sont rajoutés en cours de tricot. Seule la face est cousue. Le plus difficile a été le calcul de la répartition des mailles pour les trous de passage du cordon ! Calcul que vous n’aurez pas à faire.
Ils peuvent servir pour n’importe quel gobelet en plastique de 33 cl, du type de ceux qu’on achète sur les manifestations culturelles ou autres (et qu’on retrouve facilement chez Emmaüs à très bas prix), mais aussi certains gobelets en céramique ou en verre, par exemple les « tasses » Amalfi de Duralex, voire, leur verre icônique. [1].
Accessoirement, j’ai trouvé aussi pratique d’avoir le porte-gobelet avec son gobelet pour transporter notamment un petit tricot en cours.
Mise à jour du 22 juin : si vous ne voulez pas d’un manchot, vous pouvez utiliser la partie « face » du porte-gobelet pour un logo ou tout autre motif. Par exemple le chaudron de Mageia. Et, évidemment, utiliser d’autres couleurs et ne pas tricoter les pattes et le bec.
Ou encore, ici je n’ai fait que tricoter le motif, le logo de la distribution Linux : archlinux (en).
Les explications pour ce faire figurent sur les pdf en téléchargement ainsi que les grilles et une grille vide. Vous pouvez même télécharger la feuille de calcul au format ODS pour faire votre propre grille.