Pour les boutonnières, j’ai un truc : je commence, d’un côté, normal, puis, arrivé pas très loin de la fin, je reprends de l’autre côté et ainsi les risques de déchirure du tissu sont limités.
Reconnaissons-le, ces découd-vite ne sont pas très anciens : l’un d’eux me vient d’une vielle dame tandis que le deuxième, le blanc était livré avec ma nouvelle machine à coudre.
Il semblerait que le nom « découd-vite » soit un nom commercial, il faut donc préférer « découseur ».