Nécessaires à couture
Dans le paquetage du soldat

Nécessaires à couture en bois avec emplacement pour le fil et les aiguilles.

Au début du vingtième siècle, les soldats recevaient dans leur paquetage un étui en bois qui leur permettaient de s’occuper de leurs effets militaires. Ce type d’outils est plus ancien cependant. Le nécessaire à couture de Lavoisier, exposé aux musée des Arts et Métiers à Paris, est très ressemblant bien que dans un bois précieux et en ivoire. Il se rangeait dans un étui assorti.

Ces objets en bois tourné et plaisants à regarder, mesurent environ 13cm de long sur deux de diamètre.

Deux nécessaires à couture
Bois tourné clair pour ces sortes de trousse de couture

On y enroule du fil, jusqu’à quatre couleurs différentes sur l’un des deux nécessaires. Le manche est creux et se dévisse en deux parties, l’une sert à contenir les aiguilles, l’autre maintient un poinçon, cassé pour l’un des deux objets. On pouvait y glisser un ouvert aux deux bouts.

Nécessaire à couture dévissé
Trois parties : emplacement pour le fil, pour les aiguilles et manche du poinçon.

Enfin le bout du manche, arrondi, peut aussi servir d’outil pour repriser les gants.

Nécessaire à couture
Un nécessaire en bois entier avec son poinçon.

Ces nécessaires sont assez courants et on les trouvera facilement dans des vide-greniers ou chez des brocanteurs.