Personnellement il me suffit de le mettre au bout du doigt pour que ce dernier ne serve plus du tout à la couture tant qu’il sera ainsi encapuchonné. Vous l’aurez donc compris, je ne m’en sers donc généralement pas. Tant pis si je ne suis pas une bonne couturière.
Les dés, comme nombre d’outils d’ailleurs, font l’objet de collections comme par exemple celle du site dés à coudre de collection qui nous révèle en outre qu’elle porte le nom sympathiquement emberlificoté de Digitabuphilie. Vous verrez que les matériaux en sont variés : métal précieux ou non, porcelaine, verre, bois, pierre plus ou moins précieuse, bambou..., et qu’on fait des « dés à coudre » surtout utiles pour les collectionneurs et nettement moins pour la couture.
Le dé tour Eiffel à gauche est d’ailleurs un excellent exemple de ces dés de collection et, accessoirement, le seul que j’ai jamais vu portant une tour Eiffel en relief. C’est d’ailleurs cette caractéristique qui me l’a rendu irrésistible. Les autres dés à l’effigie de la dame de fer sont en porcelaine avec un décor la représentant (et souvent un peu de doré...).
La rangée de dés ci-dessous vous propose un modèle classique et banal (en Europe tout du moins) en métal, deux en bois nettement plus « fantaisie », un en plastique et un modèle moins courant de bague-dé. Cette dernière était pratique car elle peut se ranger sur les nécessaires à coutures militaires en bois.
Évolution technique aidant, il existe maintenant aussi des dés fabriqués en latex. Et oui on peut durcir cette matière. Le résultat est un dé léger, presque translucide, qui peut arborer plusieurs couleurs et absolument pas souple du tout.